Intrigue[]
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Adaptations[]
Au cinéma[]
- Émile CHAUTARD et Maurice TOURNEUR, Le Parfum de la dame en noir, 1914
- Marcel L'HERBIER, Le Parfum de la dame en noir, 1931
- Louis DAQUIN, Le Parfum de la dame en noir, 1945
- Francesco BARILLI, Le Parfum de la dame en noir (Il profumo della signora in nero), 1976
- Bruno PODALYDES, Le Parfum de la dame en noir, 2005
Iconographie[]
Couverture de l'édition originale[1]
"Rouletabille alla se dissimuler dans la nuit d'un pilier" (Chapitre I)[1]
"Il était debout, cambré dans les lambeaux d'une jaquette qui lui battait les talons nu-tête et pieds nus" (Chapitre IV)[1]
"– C'était Larsan ! Il nous fixait tous les trois avec ses yeux calmes ! J'entraînai rapidement vers une station de voitures M. Strangerson et sa fille qui, eux, n'avaien rien vu" (Chapitre V)[1]
Plan du fort d'Hercule (Chapitre VI)[1]
Croquis de la côté méditerranéenne (Chapitre VI)[1]
Fort d'Hercule[1]
"Mme Edith nous le présenta, et le vieux Bob poussa un gloussement poli ; puis il se repris à rire de toute sa large bouche" (Chapitre VIII)[1]
M. et Mme Robert Darzac, M. Stangerson, Sainclair, M. Rance, Rouletabille, Mme Rance, le vieux Bob, le prince Galitch (Chapitre X)[1]
Plan de l'étage de la tour carré (Chapitre X)[1]
"Rouletabille nous échappe, bondit, se sauve à travers la nuit en criant : Le parfum de la Dame en noir ! Le parfum de la Dame en noir !" (Chapitre X)[1]
Chapitre XI[1]
Chapitre XIII[1]
"Rouletabille fit jouer le barillet du revolver de Darzac" (Chapitre XIII)[1]
"C’est Bernier ! c’est Bernier qui râle, qui essaye de se soulever, qui n’y parvient pas, qui étouffe" (Chapitre XVIII)[1]
Chapitre XIX[1]
Épilogue[1]
Sources[]