Ce dramaturge auteur de plusieurs comédies fût le chef d'une troupe de Théâtre Français, qui s'illustra au début du règne de Louis XIV. La particularité de cet homme de lettres était sa capacité à placer des personnages obsessionnels dans ses pièces de théâtres, visant plus où moins explicitement à dénoncer les psychoses des hommes de l'époque et leurs sociétés.
Son œuvre
Comédies
1655 : L'Étourdi ou les Contretemps
1656 : Le Dépit amoureux
1659 : Les Précieuses ridicules
1660 : Sganarelle ou le Cocu imaginaire
1661 : Dom Garcie de Navarre ou le Prince jaloux • L'École des maris • Les Fâcheux
1662 : L'École des femmes
1663 : La Critique de l'École des femmes • L'Impromptu de Versailles
Date inconnue : Le Médecin volant, publié pour la première fois en 1819 par Emmanuel Louis Nicolas Viollet-le-Duc.
Personnages obsessionnels
La particularité de cet homme de lettres était sa capacité à placer des personnages obsessionnels dans ses pièces de théâtres, visant plus où moins explicitement à dénoncer les psychoses des hommes de l'époque et leurs sociétés.
Tartuffe ou l'imposteur
La vrai version de " Tartuffe ou l'imposteur " est à ce jour inconnue. Jouée le 12 Mai 1664, elle fut prohibée par Louis XIV deux jours plus tard. Considérablement remaniée pour la rendre acceptable, la nouvelle version du Tartuffe parut en 1669. La censure de cette comédie s'explique par une satyre pas assez implicite de Molière: En effet, il dénonça quasi-directement les dévots de l'époque. Dans cette pièce apparaît Orgon, qui est l'archétype du personnage de cour tombé sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Il est donc complètement dupe de Tartuffe. Ce dernier parvint à le manipuler en singeant la dévotion, et devint même son directeur de conscience. Chaque faits et gestes de Tartuffe est exalté par Orgon, chacune de ses paroles est bû avec adhésion. Ainsi Orgon, par aveuglement, devient complètement fou de son héros, et l'aime même plus que sa propre famille !
Cet amour lui fait tyranniser les siens, s'énerver contre ceux qui s'opposent à Tartuffe (Dorine, Damis) et abuse de son autorité paternelle pour faire ce qu'il pense que Tartuffe approuvera : En l’occurrence, s'opposer au mariage de Valère et Marianne. L'éblouissement d'Orgon pour Tartuffe disparaitra lors de la scène 7 de l'acte V, lorsque, caché sous la table, il se rendis compte de la vrai nature de ce dernier. Puis, d'un extrême, il va passer à l'autre en haïssant tous les gens de bien. Orgon est donc le caractère même d'un maniaque, qui manqua de peu de faire le malheur de tous.
Le Bourgeois Gentilhomme
Le Bourgeois Gentilhomme est une comédie-ballet de Molière, en cinq actes et en prose, représentée pour la première fois le 14 Octobre 1670 devant la cour de Louis XIV, au château de Chambord par la troupe de Molière. Dans cette pièce, Molière se moque d'un riche Bourgeois qui veut imiter le comportement et le mode de vie des nobles. Ce spectacle est très apprécié par la Cour et Louis XIV, qui le redemande plusieurs fois. Le personnage principal du récit se nomme M. Jourdain (personnage joué par Molière lui même). Ce dernier est étudiant en "Gentilhommerie", vaniteux, naïf et capricieux. L'obsession de Jourdain est, dans cet écrit, de gagner une place sociale qui n'est pas la sienne. Le bel ingénu confond précisément l'être et le paraitre, l'essence et les apparences. Il pense inconsciemment, en d'autres termes, que l'habit fait le moine. Ses faits et gestes révèlent son ignorance, son étroitesse d'esprit et ses prétentions.
En résumé, M. Jourdain, en voulant devenir noble, se ridiculise aux yeux de tout le monde: Là tout le comique de cette pièce. Molière a donc voulu, par M. Jourdain, montrer un personnage prisonnier d'une " lubie ", se construisant petit à petit un univers autistique où il se complait dans la sotte admiration de lui même. C'est donc un personnage de théâtre caricatural conservant cependant dans le même temps assez de vérité humaine pour ne pas se comporter comme une marionnette. En un mot, c'est un type littéraire par son type d'exemplarité.
L'avare
" L'avare " est une comédie de Molière en 5 actes et en prose, créée au théatre du Palais-Royal le 9 Septembre 1668. Le sujet est inspiré d'une pièce de Plaute intitulée " La Marmitte ". Dans cette pièce, Molière visa à dénoncer les Avares: Les gens un peu trop proche de leurs argents. Harpagon (vient du Latin Harpago, qui signifie " Le grappin " servant à prendre et retenir), le personnage principal de l'histoire, fût également joué par Molière. Père de Cléante et d'Élise, il était amoureux de Marianne et de sa cassette d'Or. Dans " L'Avare ", Molière batit une intrigue psychologique en fonction de son personnage principal, partagée entre ses obligations et son avarice, entre son amour et son argent. Le fait comique de cette pièce vient du fait que sont imposé à Harpagon des dépenses qui le mettent à la torture, mais il garde tout de même le soucis de l'opinion: Il se dit " Riche Bourgeois ", mais pour cela faut-il encore avoir un train de maison, un intendant, des laquais, un carosse. Il se dit " père de famille ", mais il veut marrier sa fille " Sans Dot ! ". Il est veuf et voudrait se remarier, mais la jeune Marianne est pauvre et pour ce, il faudrait offrir un grand festin .. Harpagon se rend malheureux au fur et à mesur que cette pièce avance, car le vice engendre le vice. Il est toujours inquiet, soupçonneux, il n'a jamais l'esprit tranquille: Il pense sans cesse à sa cassette d'Or enterrée dans le Jardin. Il en vient même à regarder ses enfants comme une menace, il agît donc contre tout bon sens et se rend vers la folie. Harpagon perdît sa cassette, et se délia d'un monologue des plus célèbres.
Seulement, Harpagon retrouva cette dernière et maria sa fille sans débourser quoi que ce soit. Molière pensait cependant que l'on ne puisse compter beaucoup sur l'homme: Qu'il serait Naïveté de croire qu'il soit bon ou raisonnable. Au lieu de réver d'héroïsme, pratiquons une sagesse modeste : "La parfaite raison fuit toute extrémité, et veut que l'on soit sage avec sobriété. " Poussés jusqu'à leurs conséquences logiques, beaucoup d'intrigues de Molière tourneraient normalement au drame: dans la vie courante, l'Avare ne retrouverait pas sa cassette. Mais il évite d'assombrir ses comédies, car cette dernière suppose une fin heureuse venant dissiper la tristesse.
Le malade imaginaire
Le malade imaginaire est la dernière comédie écrite par Molière. Elle fut représentée sous forme de ballet au Théatre du Palais-Royal, le 10 Février 1673 par la troupe de Molière. Après les " Comédies désespérées " (Dom Juan ou le Festin de Pierre et Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux ), elle retrouve une certaine inspiration de la " Commedia Dell'arte ", mais d'une qualité bien supérieure aux premières farces de Molière. La pièce tourne essentiellement autour d'Argan, le " Malade imaginaire ", qui donna son titre à la pièce. Veuf, il s'est remarié avec Béline qui simule des soins intensifs, mais n'attends en réalité que la mort de son mari pour pouvoir hérité. Il est d'un caractère impatient et égocentrique: Il écoute très peu les autres et ne pense qu'à lui. Il passe l’essentiel de son temps à se persuader lui même qu'il est malade et à prendre des médecines. Argan est donc hypocondriaque, il se croit infirme et mal portant. Il mesure son bien être au nombre de lavements et autres remèdes qu'il s'administre: Un mois avec 20 lavements au lieu de 12 est un mois où il se sent beaucoup mieux. L'idéal pour lui serait d'avoir un médecin à demeure, d'où son désir de voir sa fille Angélique épouser Thomas Diafoirus, fils du Dr. Diafoirus. Argan est ridicule: moqué par sa femme, présuré par son médecin et son apothicaire alors qu'il est en parfaite santé, manipulé par Toinette, son impertinente et lucide servante, il semble entièrement habité par son idée fixe: "Je suis malade." Pourtant, Argan n'est pas l'imbécile que l'on pourrait croire au premier abord. Il n'est pas méchant, mais simplement terriblement angoissé.
C'est un perpétuel inquiet qui recherche l'affection des siens et l'attention des autres par ses jérémiades. Un brave homme qui, pour son malheur et celui des autres, fait une fixation sur sa santé: Sans doute comme bien des gens, Argan est simplement terrifié par l'idée de sa mort future. Avec cette pièce, Molière profita de l'occasion pour se égratigner et moquer le jargon universitaire traditionnel. Il nous donne à voir en tout cas un personnage plus complexe qu'il n'y parait et qui ne correspond pas à la caricature qu'on en a fait souvent: Celle d'un bouffon égoïste et grotesque, ne prétend qu'au rire et à la moquerie. Argan est bel et bien un personnage humain. Argan fut le dernier rôle de Molière: Pendant une représentation, il se sentit mal et fut ramené d'urgence chez lui. Il mourra peu après.
Les valets
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière (1622-1673), est un dramaturge auteur de comédie. Ce sont des pièces du genre littéraire et théâtral fonctionnant sur le registre de l'humour. Certaines sont proches de la farce, comme les Fourberies de Scapin, d'autres sont plus psychologiques, comme l'Avare, ou encore elles peuvent être des comédies-ballets, comme le Bourgeois gentilhomme ou le Malade imaginaire. Dans ces comédies, Molière introduit habilement un des personnages les plus important dans la comédie au XVIIeet XVIIIe siècle: le valet. C'est un domestique employé qui a pour rôle de servir son maître. Dans un premier temps, nous verrons le rôle principal que joue ce personnage, puis dans un deuxième temps, nous montrerons les autres rôles que tient le valet dans ces comédies.
Les valets de Molière ont principalement un rôle comique. Ce comique peut se traduire de différentes façons: le comique de geste (ex: la farce), le comique des mots (ex: phrases absurdes, interférence, répétition, comme lors de la scène 4 de l'acte I de Tartuffe, le comique de la situation (ex: le quiproquo, comme dans l'acte V de l'Avare) et le comique de caractère ( ex: lorsque le maître est rendu comique par l'inadéquation de ses valeurs par rapport au statut social qu'ils ont, comme dans le Bourgeois gentilhomme). Mais il est peut aussi être comique par son costume et son langage.
Il a aussi pour rôle de mettre en avant son maître et de le rendre nettement plus élégant, plus raffiné, plus avisé et plus intelligent que lui.
Le valet se doit d'aider les jeunes gens face à leur père, comme Dorine dans le Tartuffe qui se distingue par son audace et sa ruse, ou encore Scapin, des Fourberies de Scapin, qui lui se distingue par son sens de l'équité et le souci de son porte-monnaie.
Ce personnage joue aussi un rôle de porte-parole du bon sens, de la raison face aux délires des pères, il reste conscient de l'injustice social, des privilèges de la noblesse et de la classe dirigeante (ex: la Toinette du Malade imaginaire). Mais les valets ne sont pas que des intermédiaires, il sont également des initiateurs qui aident leur maître naïf, faible et incapable face à une situation.
Il peut aussi avoir un rôle de moralisateur comme Scapin, des fourberies de Scapin, qui ironise sur les malheurs des amoureux et des pères.
Les valets ont souvent dans la pièce un rôle secondaire, mais il arrive parfois que ce personnage tienne finalement le rôle principal.
Pour conclure, les valets ont donc principalement un rôle comique mais tiennent différents rôles au cours d'un pièce. En effet, ils joue aussi le rôle de porte-parole, de moraliste, de messager, de faire-valoir, d'instructeur mais aussi de confident, plus courant dans les tragédies. C'est pour cela que malgré son statut « inférieur » aux autres personnes, il devient au fil du temps un élément essentiel au pièce de théâtre. N'est-ce pas alors en réalité le valet qui joue le véritable rôle principal de la pièce ?
Tous les personnages obsessionnels de Molière ne sont bien sur pas analysés ici. On peut donc en déduire que les personnages obsessionnels chez Molière sont la " clé de la comédie ", c'est à dire que ce sont eux qui déclenchent le rire. Pour ce, Molière choisit de les rendre ridicules, en faisant passer leurs obsessions avant tout. Ces nombreux personnages sont bien entendus des caricatures, mais restent cependant humains. En bref, le ridicule déclenche le rire, et le rire devant une pièce engendre une comédie. La tragédie stimule le sens du ridicule, car le ridicule est une attitude de défi: il faut rire de notre impuissance face aux forces de la nature.
Futilités
Tous les personnages obsessionnels de Molière ne sont bien sur pas analysés ici. On peut donc en déduire que les personnages obsessionnels chez Molière sont la "clé de la comédie", c'est à dire que ce sont eux qui déclenchent le rire. Pour ce, Molière choisit de les rendre ridicules, en faisant passer leurs obsessions avant tout. Ces nombreux personnages sont bien entendus des caricatures, mais restent cependant humains. En bref, le ridicule déclenche le rire, et le rire devant une pièce engendre une comédie. La tragédie stimule le sens du ridicule, car le ridicule est une attitude de défi: il faut rire de notre impuissance face aux forces de la nature.
1692 – La Vie de Monsieur de Molière[6] par Jean-Léonor Le Gallois Grimarest
1739 – Vie de Molière, avec des jugemens sur ses ouvrages[7] par Voltaire
Vers 1765 – Éloge de Molière[8] par Jean-Sylvain Bailly
1825 – Histoire de la vie et des ouvrages de Molière[9] par Jules-Antoine Taschereau
1827 – Discours sur la comédie, et vie de Molière[10] par Louis-Simon Auger
1836 – Notice sur le fauteuil de Molière[11] par François Astruc
1838 – La Chambre et le fauteuil de Molière[12] par Edmond Burat de Gurgy
1840 – Découverte d'un autographe de Molière, réfutation impartiale de quelques points de controverse élevés à ce sujet, avec un tableau comparatif des variations qu'offre l'écriture de Molière dans les signatures qu'on a de lui[13] par Pierre-Jules Fontaine
1845 – Molière : Notice sur sa vie et ses ouvrages par Sainte-Beuve
1848 – Les Dernières années de Molière[14] par Anaïs Bazin
1851 – Notes historiques sur la vie de Molière[15] par Anaïs Bazin
1854 – Molière et les médecins[16], lecture faite à l'Académie d'Amiens, dans sa séance du 11 février 1854 par M. Alexandre
1855 – Pourquoi Molière n'a pas joué les avocats[17] par Charles Truinet
1858 – Histoire des pérégrinations de Molière dans le Languedoc, d'après des documents inédits, 1642-1658 par Léon Galibert
La Jeunesse de Molière suivie du Ballet des Incompatibles, pièce en vers inédite de Molière, par Paul Lacroix
Molière et sa troupe[18] par Henri-Augustin Soleirol
1866 – Molière et sa troupe à Lyon[24] par Eudore Soulié
1867 – Molière et la comédie italienne[25], ouvrage illustré de 20 vignettes représentant les principaux types du théâtre italien, par Louis Moland
1869 – Molière en province : conférence faite à Niort, le 20 mars 1869[26] par Léon Robert
1871 – Documents inédits sur J.-B. Poquelin Molière, découverts et publiés avec des notes, un index alphabétique et des fac-simile[27] par Emile Campardon
Recherches sur le séjour de Molière dans l'ouest de la France en 1648[28] par Benjamin Fillon
1873 – Molière, sa vie et ses œuvres[29] par Jules Claretie
Molière et les médecins au XVIIe siècle[30] par Gustave Drouineau
1876 – Iconographie moliéresque[31] par Paul Lacroix
1877 – La famille de Molière était originaire de Beauvais[32] notes publiées par M. Mathon
Molière et Bossuet : réponse à M. Louis Veuillot[33] par Henri de Lapommeraye
1898 – Molière à Bordeaux vers 1647 et en 1656, avec des considérations nouvelles sur ses fins dernières, à Paris en 1673... ou peut-être en 1703 par Anatole Loquin
1910 – La comédie de Molière : l'auteur et le milieu[52] par Gustave Larroumet
1912 – Rousseau contre Molière[53] par Emile Faguet
1913 – Molière et le droit[54] par Ferdinand Sanlaville
1914 – Les comédies-ballets de Molière : originalité du genre, la poésie, la fantaisie, la satire sociale dans les comédies-ballets par Maurice Pellisson
En lisant Molière : l'homme et son temps, l'écrivain et son œuvre[55] par Emile Faguet
Les Maîtresses et la femme de Molière par Léopold Lacour
1922 – Une amie inconnue de Molière suivi de Molière et l'université, par Émile Magne
La Jeunesse de Molière par Gustave Michaut
Tricentenaire de Molière : recueil des discours prononcés à l'occasion des fêtes du troisième centenaire de Molière, janvier 1922[56]
1930 – Molière, Shakspeare, la comédie et le rire[58] par Stendhal
1932 – Molière raconté par ceux qui l'ont vu par Gustave Michaut
1933 – Molière et les femmes par René Valesnes
Le rire et les Larmes de Molière par Raoul Duhamel
1936 – Un comédien nommé Molière par Béatrix Dussane
1942 – Molière par René Benjamin
Molière par John Charpentier
1943 – Molière par Daniel Mornet
1945 – Morale de Molière par Jacques Arnavon
1946 – Molière, bourgeois de Paris et tapissier du Roy par Georges-Gustave Toudouze
Molière et la comédie de mœurs en Angleterre : (1660-68) par André de Mandach
1947 – Trois grands hommes devant Dieu : Molière, Jean-Jacques Rousseau, Gustave Flaubert par François Mauriac
1959 – Molière par Daniel Mornet
1963 – Molière par Jean Meyer
1966 – Molière ou l'invention comique : la métamorphose des thèmes et la création des types par Marcel Gutwirth
1967 – Les contemporains de Molière : recueil de comédies, rares ou peu connues jouées de 1650 à 1680 avec l'histoire de chaque théâtre, des notes et notices biographiques, bibliographiques et critiques par Victor Fournel
1976 – Les grands rôles du théâtre de Molière par Maurice Descotes
1979 – Molière, homme de théâtre par René Bray
1980 – Essai sur la séparation de la religion et de la vie : Molière dans le drame spirituel de son temps, la princesse de Clèves par Jean Calvet
Molière ou la Double tentation par Yves Kermanac'h
Molière ou les Métamorphoses du comique : de la comédie morale au triomphe de la folie par Gérard Defaux
1983 – Le dialogue moliéresque : étude stylistique et dramaturgique par Gabriel Conesa
1985 – Merci, Molière ! par Robert Manuel
Molière abstrait par Alex Szogyi
Molière de tous les jours par Pierre Bonvallet
Molière et ses metteurs en scène d'aujourd'hui : pour une analyse de la représentation par Michel Corvin
1986 – Comédies et pamphlets sur Molière, édition critique par Georges Mongrédien
Molière par Francine Mallet
Molière par Isabelle Jan
1987 – Molière, une vie par Alfred Simon
Molière : les métamorphoses du carnaval par Thérèse Malachy
1988 – Molière par Jean-Pierre Darras
Le Voyage de Molière en Languedoc : 1647-1657 par Claude Alberge
1989 – Le silence de Molière (Il silenzio di Molière) par Giovanni Macchia
La Relation matrimoniale dans l'œuvre de Molière par Constant Vensoen
1990 – Le chiffre scénique dans la dramaturgie moliéresque par Dominique Lafon
Dynamique des formes théâtrales dans l'œuvre de Molière : histoire d'une dissidence secrète par Mihaela Mîrţu
Molière en toutes lettres par Georges Forestier
Molière et Madeleine Béjart : le ballet des incompatibles par Nicole Aronson
Molière ou l'Auteur imaginaire ? par Hippolyte Wouters et Christine de Ville de Goyet
1991 – Mirages de la farce : fête des fous, Breugel et Molière par Thierry Boucquey
Molière côté jardin, côté cour par Max Vernet
1992 – Molière par Alain Couprie
Molière à l'école républicaine : de la critique universitaire aux manuels scolaires, 1870-1914 par Ralph Albanese
Molière et la comédie classique, extraits des cours de Louis Jouvet au conservatoire, 1939-1940
Molière ou L'esthétique du ridicule par Patrick Dandrey
Les mots de Molière : les quatre dernières pièces à travers les nouvelles technologies par Hubert de Phalese
1993 – Molière par Fernand Égéa
Molière, une vie pour le théâtre par Isabelle Jan, illustré de Véronique Ageorges [j]
Molière en son temps par Jürgen Grimm
Molière et ses comédies-ballets par Charles Mazouer
1994 – Molière ou Le prix des choses : morale, économie et comédie par Pierre Force
Molière : biographie, étude de l'œuvre par Mireille Cornud-Peyron
1995 – Molière jour après jour par Jacques Weber
1996 – Molière et la farce par Bernadette Rey-Flaud
Quand Jean-Baptiste joue du Molière : essai par Constant Venesoen
1997 – Molière ou L'éternel baladin par Jackie Landreaux-Valabrègue, illustré par Bruno Mallart [j]
Molière ou La liberté mise à nu par Georges-Arthur Goldschmidt
1998 – La carrière de Molière entre protecteurs et éditeurs par C.E.J. Caldicott
La médecine et la maladie dans le théâtre de Molière par Patrick Dandrey
Molière par Roger Duchêne
Théâtralité dans l'œuvre de Molière par Marco Baschera
1999 – Molière & ses personnages par Thierry Colignon et Christine Monnet [j]
Molière, l'homme-théâtre par Bernard Combeaud
Molière, philosophie par Olivier Bloch
Les sources de Molière : répertoire critique des sources littéraires et dramatiques par Claude Bourqui
2000 – Molière l'inventeur : 'c't avec du vieux qu'on fait du neuf' par Roger Pensom
Molière ou L'essence du génie comique par Ramon Fernandez
Le théâtre de Molière : une dynamique de la liberté par Joseph Pineau
Variations comiques : les réécritures de Molière par lui-même par Brice Parent
2001 – Molière-Corneille : les mensonges d'une légende par Philippe Vidal
Poquelin par Molière : entretiens avec l'homme et l'artiste par Robert Manuel, Marie-Silvia Manuel
Savoir et économie dans l'œuvre de Molière par Richard Sörman
2002 – L'impossible social selon Molière par Ran-E Hong
2003 – Corneille dans l'ombre de Molière : histoire d'une découverte par Dominique Labbé
Molière par Georges Bordonove
Molière par Blandine Bricka
Molière à l'école italienne : le lazzo dans la création moliéresque par Claude Bourqui, Claudio Vinti
Molière : une vie, une œuvre par Karine Delobbe [j]
Le théâtre de Molière au Portugal au XVIIIe siècle : de 1737 à la veille de la révolution libérale par Marie-Noëlle Ciccia
2004 – L'affaire Molière : la grande supercherie littéraire par Denis Boissier
Molière par Brigitte Labbé, Michel Puech, illustré par Jean-Pierre Joblin [j]
Molière par Alain Niderst
Molière : portrait de la France dans un miroir (1673-1973) : étude bibliographique sur la construction du portrait de Molière par les Français, thèse de Gérard More
2005 – Les cent ans du Théâtre Molière de Sète, 1904-2004 par Simone Lacomblez
Du petit Poquelin au grand Molière par Kerbraz, illustré par Lalex [j]
Molière par Sylvie Dodeller [j]
Molière, dramaturge libertin par Antony McKenna
Molière : les armes de l'esprit par Catherine Axelrad
2006 – "Ôte-moi d'un doute" : l'énigme Corneille-Molière par Jean-Paul Goujon, Jean-Jacques Lefrère
2007 – L'affaire Corneille-Molière ou Molière prête-nom de Corneille et bouffon du roi : biographies associées de Corneille et Molière par Denis Boissier
Molière par Christophe Mory
Poétique de Molière : comédie et répétition par Jean de Guardia
2008 – Molière : l'illustre voyage de A à Z par Georges Bégou
Tout savoir sur l'affaire Corneille-Molière par Denis Boissier
2009 – Et Molière devint dieu : Molière et les moliéristes au XIXe siècle par Claude Alberge
Molière, comique et communication par Olivier Bloch
2012 – Lecture socio-politique de l'épicurisme chez Molière et La Fontaine par John H. Mazaheri
Molière sous les feux de la rampe par Noël Peacock
Le rire de Molière par Michael Edwards
2013 – Molière et le monde médical au XVIIe siècle par Christian Warolin
2014 – Les médecins de Molière au chevet de Louis XIV par Jean-Louis Vanherweghen
Tel était Molière par Georges Poisson
2015 – Les décors de Molière : 1658-1674 par Philippe Cornuaille
Le mystère Molière par Jacques Lorcey, en 2 volumes
Le Paris de Molière par Jacqueline Razgonnikoff
2016 – La Fontaine, Molière : la plume & le masque par Gilles de Becdelièvre
Molière et Shakespeare ou Les frères amis par Michel Edwards
L'ultime Molière : vers un théâtre éclaté par Stephen H. Fleck
2017 – Le grand Molière illustré par Caroline Guillot
Michel Bouquet raconte Molière par Michel Bouquet
Molière par Jean-Michel Coblence, Elléa Bird [j]
Mon cher Molière par Isabelle Wlodarczyk [j]
2018 – La fabuleuse histoire de Jean-Baptiste Poquelin dit Molière par Claude-Catherine Ragache
Molière par Georges Forestier
Molière aux éclats : le rire de Molière et la joie par Pascal Debailly
Molière des romantiques, sous la direction de Olivier Bara, Georges Forestier, Florence Naugrette et Agathe Sanjuan
Molière vu par une ado par Cécile Alix, illustrations, Chadia Loueslati [j]
Renouveau et renouvellement moliéresques : reprises contemporaines, sous la direction de Mary J. Muratore