Donc en gros Flaubert c'est bref un écrivain du dix-neuvième siècle mais voilà quoi. Donc il écrit une œuvre et ça s'appelle Trois contes et c'est sa dernière œuvre achevée, respect.
Donc voilà et là c'est cool. Alors le premier ça parle d'une fille stupide. Mais elle est gentille j'avoue respect. Donc en fait elle va aider une famille et voilà et elle va avoir un perroquet qu'elle aime beaucoup et il s'appelle pas coco mais loulou ! loulou c'trop chou je kiffe. Et donc elle se met à aider la famille mais à la fin elle meurt c'est trop triste j'ai pleuré je t'aime Félicité la servante même si t'es débile t'es trop belle lol !
Un jeune homme d'apparence cossue vint inviter Félicité à la danse[2]
Rencontre de Félicité et de madame Aubain en tenue de deuil, devant une auberge de Pont l'Evêque[2]
Pourchassés par un taureau, madame Aubain et ses enfants se réfugient derrière une barrière, tandis que Félicité retarde l'animal en l'aveuglant de mottes de terre[2]
Félicité avait retrouvé sa soeur : Nastasie Barette tenant un nourrisson à sa poitrine, de la main droite un autre enfant, et à sa gauche un petit mousse[2]
La cérémonie de première communion de la jeune Virginie Aubain[2]
Le départ de Virginie pour les Ursulines d'Honfleur. Une vieille religieuse venait chercher mademoiselle. Félicité fit des recommandations au cocher[2]
Félicité demanda la permission de recevoir son neveu Victor. Il arrivait le dimanche après la messe. Tout de suite, elle dressait son couvert. Ils déjeunaient l'un en face de l'autre[2]
Mme Aubain et sa fille Virginie en promenade, avec Le Havre en toile de fond[2]
Félicité interpellant Fabu le garçon boucher qui taquine le perroquet Loulou, jusqu'à vouloir lui apprendre des jurons[2]
Félicité gisant sur le bas-côté de la route menant à Honfleur, après avoir été violemment fouettée par le conducteur d'une malle-poste[2]
Félicité vieillissante et malade passant ses journées assise dans la cour de la maison, et madame Simon qui venait tous les matins fendre son bois et pomper de l'eau[2]
Procession de la Fête-Dieu dans les rues de Pont-l'Evêque[2]
Messe de la Fête-Dieu organisée dans la cour de madame Aubain[2]
Madame Simon penchée à la fenêtre pour assister à la cérémonie, tandis que Félicité est à l'agonie sur son lit de mort[2]
Trois contes en BD, Petit à petit, 2007
Bon ensuite le deuxième quoi c'est l'histoire de saint-julien l'hospitalier mais il tenait pas d'hôpital donc son nom c'est n'importe quoi. On lui a dit qu'il va tuer son père et sa mère comme Oedipe. Et donc il part à la chasse un jour quand on lui dit la prophétie et donc il prend peur le pauvre et il s'en va. Bon débarras mais en fait non ! l'histoire continue... Il finit par épouser une femme. Mais un jour que ses parents viennent lui rendre visite il les tue parce qu'il les reconnaît pas. Donc il se tire et il arrive à un lac. Et un vieux vient lui rendre visite et il se met tout nu à côté de lui mais c'est pas du tout du viol donc ça va et il meurt.
Ensuite le troisième ça se passe en Israël mais en cette époque ça existait pas et il y avait pas les attentats suicides donc c'était plutôt calme. Alors il y a un roi il veut tuer un rabbin qui s'appelle Iokhannan mais en fait ça se traduit pas Jean-Baptiste parce qu'il dit que jésus c'est jésus-christ donc ça se passait environ au Premier siècle après jésus-Christ et alors il finit par le tuer parce qu'il tombe amoureux de la fille de sa femme mais c'est pas de l'inceste donc ça va.
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Illustration de Georges Rochegrosse gravée par Champollion, 1892[4]
Salomé, « Plus légère qu'un papillon, comme une Psyché curieuse, comme une âme vagabonde semblant prête à s'envoler... »[5]